Reliquat d’un parc réalisé au début du vingtième siècle, le parc du lac Cambacérès va retrouver sa splendeur d’antan avec une affirmation des principes du jardin romantique : tracé tendu des cheminements, esprit de collection, qui contrasteront avec l’adjonction d’éléments résolument contemporains: grand ponton reliant les îles, terrasse bois protégeant les systèmes racinaires d’anciens pins et platanes.

Un jardin réservoir de biodiversité en milieu urbain.

Le parc est un point de jonction entre le bois de Verrières et la coulée verte d’Antony. Les berges, anciennement minérales et abruptes, sont traitées en ripisylves, au sein desquelles sont aménagées des zones favorables à la nidification des oiseaux.

Des jeux sculptés: la fosse aux lions.

Clin d’œil à la ménagerie du dix-neuvième, une fosse, entourée d’une grande clôture circulaire, accueille des sculptures animalières, support de jeux des jeunes fauves.

Une ouverture visuelle et le retour de la strate
herbacée.

La végétation existante est retravaillée afin de retrouver les ouvertures visuelles originelles. Une grande variété d’espèces herbacées et arbustives est implantée avec une palette végétale simple et homogène mélangeant végétation indigènes et plantes horticoles…

Une évocation du passé:

Une collection d’Aubépine rares offre au promeneur un parcours botanique rappelant l’histoire de la commune et la présence de la pépinière André de Vilmorin qui fait de Verrières le buisson une ville Arboretum. Le promeneur découvre ainsi des aubépines telle l’aubépine de Rome dont les fruits comestibles se mangent cru ou cuit…